La Guilde de la Rose

Posted by ruthdedallime on 22/08/2011 · Un commentaire 

Emblème de la Guilde de la Rose

La Guilde de la Rose est une confrérie fondée en 1993 par cinq élèves de 4e. On considère Carlotta Rossicci comme son inspiratrice principale. Reconnaissables à leur look suranné et à la rose piquée dans les boutonnières des garçons et les cheveux des filles, les membres de la Guilde sont des personnes peu présentes dans la vie quotidienne de l’École. Ils restent le plus souvent entre eux et ne cherchent pas à se mêler aux autres. La plupart des élèves les considèrent comme « à part ».

Au moment de « La Ligue », les membres de la Guilde de la Rose sont en 1ère, c’est à dire dans la promotion de Harry. Il s’agit de Wotan Crèvecoeur, Dagda Koebelsberg, Marie-Céleste Otéane, Carlotta Rossicci et Achille Ublistane. Ces cinq jeunes gens appartiennent à des familles historiques, ce dont ils tirent fierté.

Codes sociaux et physiques :
La Guilde obéit à un certain nombre de règles, inspirées de l’amour courtois, et ses membres s’habillent dans un style historique (essentiellement Moyen-Age, Renaissance et XIXe siècle). S’ils avaient été moldus, il est probable que ces jeunes gens auraient adopté la mode gothique.
Les garçons se saluent entre eux en se donnant l’accolade et ils s’inclinent devant les filles ou leur font un baise-main, si les circonstances s’y prêtent.

Dagda et Marie-Céleste dans la roseraie

Centre d’intérêt de la Guilde :
Les principales occupations de la Guilde de la Rose sont de lire de la poésie romantique, d’étudier les mythes moldus et sorciers, de s’intéresser aux pratiques magiques celtiques et de travailler les Runes. Ces cinq jeunes apprécient également l’esthétique Art Nouveau et la littérature fantastique.

Relations aux autres :
A la différence du groupe des Punks, la Guilde est assez refermée sur elle-même. Même si la plupart de ses membres sont ouverts, sympathiques et appréciés, ils ne semblent pas souhaiter se mêler aux autres. Leurs centres d’intérêts étant assez éloignés de ceux de leurs camarades, ils considèrent probablement qu’ils ont peu en commun. Ils jouissent cependant d’un prestige certain auprès des autres élèves : on les consulte souvent sur des questions de culture littéraire, sorcière ou moldue, et sur leur connaissance des runes.
Bref, ils sont admirés, mais jamais enviés, car les codes de la Guilde de la Rose sont assez rigides.

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